EUROPEANA • une Brève Histoire du 20eme siècle.


Photo Christophe Lartige
Le premier seule-en-scène de Corinne Touzet nous plonge dans le récit haletant de l'histoire du 20ème siècle.
Avec une mordante objectivité, une grande drôlerie, et beaucoup d’émotions, Europeana une Brève Histoire du XXème siècle retrace les étapes fondamentales de l’histoire du siècle précédent en Europe, dont les progrès, les attentes et le chaos ont forgé ce curieux monde qui est le nôtre aujourd’hui.
Ce récit, pris en charge par une femme ordinaire, qui s’agite sans relâche dans son appartement, provoquant autour d’elle un désordre incohérent, en illustrera la mécanique exigeante et absurde.
Elle raconte le XXème siècle comme on déroule un ruban : les deux guerres mondiales et leurs conséquences, la bombe atomique, la société de consommation, l’évolution du sort des femmes, l’effondrement ou la renaissance de certaines religions, les voyages sur la lune et enfin... l’impatiente attente du XXI’ siècle...
Au delà de ce récit haletant, émouvant, drôle, souvent sans complaisance sur l’histoire du 20ème siècle, Corinne Touzet nous entraine et nous surprend dans un voyage passionnant où l'on apprend énormément.
Avec une mordante objectivité, une grande drôlerie, et beaucoup d’émotions, Europeana une Brève Histoire du XXème siècle retrace les étapes fondamentales de l’histoire du siècle précédent en Europe, dont les progrès, les attentes et le chaos ont forgé ce curieux monde qui est le nôtre aujourd’hui.
Ce récit, pris en charge par une femme ordinaire, qui s’agite sans relâche dans son appartement, provoquant autour d’elle un désordre incohérent, en illustrera la mécanique exigeante et absurde.
Elle raconte le XXème siècle comme on déroule un ruban : les deux guerres mondiales et leurs conséquences, la bombe atomique, la société de consommation, l’évolution du sort des femmes, l’effondrement ou la renaissance de certaines religions, les voyages sur la lune et enfin... l’impatiente attente du XXI’ siècle...
Au delà de ce récit haletant, émouvant, drôle, souvent sans complaisance sur l’histoire du 20ème siècle, Corinne Touzet nous entraine et nous surprend dans un voyage passionnant où l'on apprend énormément.

Corinne Touzet par Armelle Héliot.
Corinne Touzet est une femme en mouvement. Elle va son chemin d’un pas ferme et aérien à la fois, partageant son temps entre le jeu, la production et l’engagement au coeur d’associations dans lesquelles elle s’implique de toute son énergie. Parce que la télévision l’a très tôt happée et lui a offert de beaux rôles au coeur de séries qui lui ont apporté notoriété et amour du public, on pourrait oublier quelle relation profonde elle a toujours entretenue avec le spectacle vivant. Dès l’enfance, c’est la piste et le travail du clown qui l’intéresse. Une vocation.
À voir cette grande et belle femme rayonnante, son regard d’un vert intense et tendre à la fois, cette féminité accomplie, on a du mal à l’imaginer avec un nez rouge ! À l’orée des années 1980, pourtant, après un grand voyage en Amérique du Nord, au Canada, aux États-Unis, puis un séjour formateur à Aix-en-Provence, où elle découvrait l’Art Clownesque avec Yves Quinio, elle était à Paris, travaillant auprès d’Alain Illel et son TAÏ Théâtre. Elle y donnait des cours de clown, d’acrobatie, et y avait joué son spectacle « Femme Clowne ».
Corinne Touzet est une femme en mouvement. Elle va son chemin d’un pas ferme et aérien à la fois, partageant son temps entre le jeu, la production et l’engagement au coeur d’associations dans lesquelles elle s’implique de toute son énergie. Parce que la télévision l’a très tôt happée et lui a offert de beaux rôles au coeur de séries qui lui ont apporté notoriété et amour du public, on pourrait oublier quelle relation profonde elle a toujours entretenue avec le spectacle vivant. Dès l’enfance, c’est la piste et le travail du clown qui l’intéresse. Une vocation.
À voir cette grande et belle femme rayonnante, son regard d’un vert intense et tendre à la fois, cette féminité accomplie, on a du mal à l’imaginer avec un nez rouge ! À l’orée des années 1980, pourtant, après un grand voyage en Amérique du Nord, au Canada, aux États-Unis, puis un séjour formateur à Aix-en-Provence, où elle découvrait l’Art Clownesque avec Yves Quinio, elle était à Paris, travaillant auprès d’Alain Illel et son TAÏ Théâtre. Elle y donnait des cours de clown, d’acrobatie, et y avait joué son spectacle « Femme Clowne ».
Très vite, la belle Corinne allait connaître la chaleur de la reconnaissance des réalisateurs, des scénaristes et des téléspectateurs. Il n’est pas donné à tout le monde d’incarner des personnages en lesquels un large cercle se reconnaît. Des personnages auxquels les téléspectateurs s’attachent. Cette carrière télévisuelle l’a occupée plus de trente ans !
« Depuis quatorze ans, et sans renoncer aux tournages, j’ai retrouvé avec un grand plaisir le théâtre», confie- t-elle. « J’ai eu la chance de trouver des pièces inspirantes et de travailler sous la direction de metteurs en scène avec qui je me sentais en confiance, entourée de comédiens que j’aime. C’est un
privilège.
» Après « Mobile Home » de Sylvain Rougerie qu’elle crée en 2008, avec Jean Pierre Bouvier et l’auteur, sous la direction d’Anne Bourgeois, elle s’est beaucoup amusée avec « Personne n’est parfait » aux côtés de Jean- Luc Reichmann au Théâtre des Variétés. Elle continue ensuite avec une pièce mise en scène par Marion Sarraut, « Soif », qui l’occupe presque deux saisons complètes, de Paris aux tournées françaises et internationales.
En 2013, elle passe un bel été au Chêne Noir d’Avignon, qui affiche complet avec la bouleversante « Journée particulière », adaptation du Film d’Ettore Scola, qu’elle avait rencontré jeune à Cinecitta. A ses côtés, notamment Jérôme Anger, dans cette pièce reprise ensuite au Théâtre Montparnasse.
Ont suivi « Un Nouveau départ » Christophe Lidon, « Voyage en ascenseur », « Alors on s’aime » mis en scène par Anne Bourgeois à nouveau, « Maux D’amour » par Johanna Boyé. Beaucoup de femmes dans ce parcours.
Et enfin « Juste Une Embellie », une pièce de l’auteur Britannique David Hare créée au Théâtre des Gémeaux pendant le Festival d’Avignon, qu’elle joue actuellement encore en tournée, sa 3ème collaboration avec Christophe Lidon, avec qui elle adore travailler depuis le grand succès de « La Journée Particulière ».
« Depuis quatorze ans, et sans renoncer aux tournages, j’ai retrouvé avec un grand plaisir le théâtre», confie- t-elle. « J’ai eu la chance de trouver des pièces inspirantes et de travailler sous la direction de metteurs en scène avec qui je me sentais en confiance, entourée de comédiens que j’aime. C’est un
privilège.
» Après « Mobile Home » de Sylvain Rougerie qu’elle crée en 2008, avec Jean Pierre Bouvier et l’auteur, sous la direction d’Anne Bourgeois, elle s’est beaucoup amusée avec « Personne n’est parfait » aux côtés de Jean- Luc Reichmann au Théâtre des Variétés. Elle continue ensuite avec une pièce mise en scène par Marion Sarraut, « Soif », qui l’occupe presque deux saisons complètes, de Paris aux tournées françaises et internationales.
En 2013, elle passe un bel été au Chêne Noir d’Avignon, qui affiche complet avec la bouleversante « Journée particulière », adaptation du Film d’Ettore Scola, qu’elle avait rencontré jeune à Cinecitta. A ses côtés, notamment Jérôme Anger, dans cette pièce reprise ensuite au Théâtre Montparnasse.
Ont suivi « Un Nouveau départ » Christophe Lidon, « Voyage en ascenseur », « Alors on s’aime » mis en scène par Anne Bourgeois à nouveau, « Maux D’amour » par Johanna Boyé. Beaucoup de femmes dans ce parcours.
Et enfin « Juste Une Embellie », une pièce de l’auteur Britannique David Hare créée au Théâtre des Gémeaux pendant le Festival d’Avignon, qu’elle joue actuellement encore en tournée, sa 3ème collaboration avec Christophe Lidon, avec qui elle adore travailler depuis le grand succès de « La Journée Particulière ».
